Sal Cap-Vert

Après une nav sportive et remuante de deux jours entre le Sénégal et le Cap -Vert (houle courte de face durant 40 heures), nous mouillons à La Palmeira, petit village de pêcheurs de l'île de Sal. Nous, c'est l'équipage de LILADHOC et celui d'HUMANES.

Port de la Palmeira

Sal est une petite île très arride dont le nom provient de la découverte de salines dans le cratère de Pedra de Lume. L' exploitation du sel dure jusque dans les années 80.

L'exploitation du sel à Sal

Abdoul nous sert de guide et nous emmène sur les chemins caillouteux et poussiéreux jusqu'au goufre de Buracona et ses piscines naturelles aux eaux cristallines.

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Les salines de Pedra de Lume nous offre un spectacle étonnant de couleurs allant du bleu turquoise, au blanc et au rose. Sur la côte, pas très loin, on trouve des carcasses de vieux rafiots rouillés, des bâtiments qui servaient au commerce du sel complètement abandonnés vestiges d'une activité florissante.

Vestige d'une exploitation jadis florissante

Nous prenons notre déjeuner à Santa Maria, la station balnéaire de l'île connue pour ses spots de surf . C'est une petite ville agréable avec quelques maisons coloniales, une belle plage de sable blanc. Nous avons le même sentiment de vacances que lorque nous sommes à Mojacar... et je pense évidemment à tous ceux avec qui nous partageons ça !

Puis nous arrivons à La Palmeira le soir lorsque les pêcheurs déchargent leur poisson. Ça s'invective, c'est haut en couleur!

Nous partons pour l'île de Sao Vicente où se trouve la marina de Mindelo où nous laisserons le bateau pour 1 mois. En effet, pour plus de sécurité, nous préférons laisser HUMANES dans une marina plutôt qu'à un mouillage sauvage.

« Nath second d'Humanes ! »

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